J’ai eu la chance de poursuivre des études supérieures longues et d’exercer pendant près de 20 ans des métiers à fortes responsabilités dans les secteurs de l’immobilier et de l’assurance. Ces années ont été nourries d’échanges et d’apprentissages permanents grâce à des personnes de tous statuts professionnels et de tous horizons.
En parallèle, je consacrais une grande partie de mon temps libre au sport et à mon engagement bénévole auprès d’associations qui dispensaient des cours de Krav-Maga aux femmes.
En quelques mois, une série d’épreuves est venue tout bouleverser : maladie, épuisement m’ayant conduit au bord du burn-out, séparation, perte d’emploi… De cette synchronicité douloureuse est née l’occasion de revoir mes priorités et de changer de vie.
J’ai décidé de me consacrer à ce qui m’avait naturellement animé et que j’avais aimé, y compris au cours de ma première vie professionnelle : écouter avec empathie et bienveillance, conseiller objectivement et accompagner en m’adaptant à chacun, tout en restant à ma place et dans mon rôle.
Ce fut donc une évidence de m’orienter vers la Sophrologie, que j’avais pratiquée à titre personnel.
J’ai été initiée au bienfait de la régulation de la respiration en pratiquant la natation très jeune, puis le yoga et la méditation de pleine conscience pendant de nombreuses années.
Puis j’ai progressivement découvert le pouvoir de la visualisation mentale grâce à des séances de Sophrologie en groupe, auxquelles je participais dans le but de m’accorder une pause dans une ambiance détendue et bienveillante.
Par la suite, ces enseignements m’ont aidée à me relaxer au quotidien. Par exemple, à me projeter dans mes souvenirs heureux et agréables pour gérer des épreuves ponctuelles, comme de vives douleurs lors de traitements médicaux.
S’agissant de mettre en œuvre l’aide à la préparation mentale que constitue la Sophrologie, c’est certainement ma pratique du Krav-Maga qui m’en a le plus donné l’occasion, grâce aux conseils de mes professeurs : relâcher son corps et son esprit pour leur permettre d’accueillir l’enseignement dispensé ; visualiser encore et encore les techniques en vue et à l’issue des entraînements ; préparer les passages de grade et les combats, notamment pour gérer sa concentration et les douleurs avant, pendant et… après !
Ces multiples applications personnelles de la Sophrologie guident aujourd’hui concrètement ma pratique professionnelle.
Ce sont également des expériences de vie qui m’ont conduite à me former à la Nutrition et à la Naturopathie.
J’ai toujours eu plaisir à manger et à pratiquer des activités physiques.
Mais est arrivée une époque où ma pratique sportive est devenue excessive au point de m’épuiser, de me rendre malade et de m’amener à flirter avec l’orthorexie. Ajoutée à une intolérance alimentaire longtemps confondue par mon médecin de l’époque avec une sommation, j’ai poussé mon corps au-delà du raisonnable.
Un bon diagnostic et la décision de pratiquer le sport avec plaisir et respect de mes besoins ont radicalement changé ma vie. J’ai décidé d’aller plus loin et de développer mes connaissances en Nutrition et Naturopathie.
Pour mieux appréhender le fonctionnement du corps et de l’esprit, ainsi que les différentes méthodes pouvant apporter bien-être et soutien à mes consultants, je me documente en permanence, notamment s’agissant des évolutions des neurosciences. Je suis et ai suivi de nombreuses formations, principalement sur : la mémoire et de la concentration, la méditation et les addictions.
Concernant la Sophrologie, en tant que membre adhérent de la Chambre syndicale de la Sophrologie, je m’engage à appliquer le Code de déontologie des Sophrologues, notamment les règles morales et éthiques inhérentes à ma profession.
Une des plus importantes à rappeler est que la Sophrologie ne doit jamais remplacer une prise en charge médicale et / ou psychologique.
Il en va de même pour toutes les prestations que je propose.